Vous connaissez notre planète bleue, la voici dessinée par Noa. Vous reconnaissez les continents (en vert), mais quel est donc le nom de cet océan qui recouvre notre globe ?
(réponse après vos suggestions :))
Le gagnant remporte un superbe week-end dans notre future maison !
Bon anniversaire à Alexa qui a la chance de pouvoir le fêter en vacances. Si elle avait été dans notre zone, elle aurait eu un cadeau un peu empoisonné: la reprise !
On t’embrasse bien fort et on trinquera à ta santé.
Il est venu le temps tant attendu des barbecues… grand merci donc à Marie-Claire et Jean-Paul pour leur superbe (et utile) cadeau d’anniversaire à Fred !!!
Premier plaisir, le montage de la “bête” :
Le résultat final:
…Vous voulez un petit gloups ? Mais quel est donc ce récipient étrange que Fred tient à la main?…
Et bien c’est une cheminée d’allumage (sponsoring de Papa & Maman Goulas pour l’anniversaire de Fred). L’argument du vendeur qui a convaincu Fred a été que “si si, avec cela, plus besoin de rester auprès du barbecue pour faire prendre les braises et galérer, vous pourrez prendre l’apéritif en toute tranquillité !!!” Et bien effectivement, l’essayer c’est l’adopter !
Après, ya-pu-ka déposer les saucisses et autres merveilles culinaires (on vous a dit qu’on pouvait faire cuire un poulet entier dans ce magnifique objet?!):
Au final, un homme HEUREUX !!!
source: Marianne en ligne
Certains d’entre vous ont pu constater ce week-end que Unboutdecheminensemble avait été victime de son succès! Il était en effet devenu impossible de rajouter des photos car les quotas disponibles avaient été atteints! Nous ne nous attendions pas à un tel succès, et nous n’avions donc pas anticipé ce problème. Mais nous avons su réagir vite! Aujourd’hui, tout est rentré dans l’ordre, grâce à l’acquisition d’un compte flickr PRO! Il vous est donc possible de nous communiquer la suite des aventures Guyomarch & Co! Et en photos, s’il vous plait!
Bonne rédaction à tous!
Un résumé un tantinet romancé de notre samedi week-end.
Nous avions prévu de faire l’aller retour Paris-Rennes hier pour visiter “notre” maison et nous voilà rentrés … ce midi.
Hier matin à 8h nous prenions le train avec une Noa endormie, pour louer une voiture à Rennes en fin de matinée… Après avoir constaté chez Avis, Hertz, Alamo et Rent a Car que la voiture de location c’est une grosse arnaque cher (premier prix 86 euros HORS TAXES pour la journée sans l’essence !!!), nous avons échoué chez Budget où nous avons au passage payé 20 euros un réhausseur pour Noa (contre 45 euros chez l’un des autres loueurs ! soit son prix neuf).
Dans notre Peugeot 206 qui m’a instantannément donné mal au coeur, nous nous sommes dirigés gaiement vers Bruz et Laillé, notre future (on l’espère) patrie. Après avoir visité le village de Laillé pour repérer écoles, pharmacie, supermarché, etc, nous avons trouvé en centre bourg une chouette petite pizzeria où nous avons déjeuné pour un prix défiant toute concurrence parisienne avant de retrouver “notre” agent immobilier à Chateaugiron pour visiter 5 nouvelles maisons et “la nôtre”. Allez hop ! On l’embarque dans notre voiture de location et en voiture Simone Alexandre !
Noa est endormie et nous faisons les 2 premières visites en la laissant ronfler avec un filet de bave se reposer dans la voiture… Notre planning tient la route et on est dans les temps.
Pour la troisième maison, une sorte d’hôtel particulier en centre ville de Janzé, Noa est de la partie… je passe la description de la maison bourgeoise – qu’on vous fera en live. Disons pour résumer que celui qui la prendra aura également besoin de “personnel”. C’était la maison de famille des “Malheurs de Nolwenn” (les “Malheurs de Sophie” version bretonne).
A l’issue de la visite, nous prenons un petit goûter à base de Pim’s pour nous et un lait-chocolat pour Noa. Et zou ! On enchaîne sur Goven, pour une autre visite… La maison est sympa, mais pas de pierres apparentes, jardin exigü exposé Nord, pas de dépendance, bref on commence à avoir des goûts de luxe. Il est 18 heures lorsqu’on se dirige vers Laillé pour visiter une seconde fois “notre” maison. Notre train retour part à 20h05, il ne faut pas trop traîner…
A Laillé, nous avons toujours le coup de coeur pour la “maison aux fenêtres rouges” comme l’appelle Noa. Nous prenons le temps de bien revisiter et de faire des photos cette fois-ci ! A 19h, il est temps de partir, nous devons ramener notre agent immobilier à Chateaugiron et repartir vers Rennes, rendre la voiture et attraper le train… C’est serré mais Alexandre nous fait passer par la voie rapide et nous sommes confiants. Noa s’est rendormie dans la voiture, cassée par cette grosse journée. La pluie se met à tomber dru. Une légère condensation continentale apparaît.
Chateaugiron, l’entrée du bourg, on est arrivés… ou presque. Un gargouillis bizarre et le cri de notre agent immobilier nous indique qu’un petit incident est en train de se produire. Noa, toujours endormie, est néanmoins en train de vomir tout ce qu’elle a ingurgité depuis le matin : la pizza, le chocolat au lait, etc… Alexandre est par miracle épargné (sa saccoche en cuir n’en ressort pas indemne par contre, mais il ne s’en est pas encore aperçu).
Arrêt d’urgence sur le côté, je sors Noa en 3 secondes chrono, je la mets littéralement à poil sous la pluie battante, il y a du vomi partout : manteau, t-shirt, pantalon, chaussures, chaussettes, culotte, etc.
Le siège enfant à 20 euros est foutu innondé de vomi.
La banquette arrière est touchée aussi (euphémisme).
Le dos du siège avant est aspergé.
Alexandre est en train de reprendre conscience sur le bas côté, balbutiant vaguement “alors c’est donc ça avoir des enfants… et ma femme qui me tanne pour en avoir… alors c’est donc ça… ah moi le vomi je peux pas… alors c’est donc ça les enfants”. David le débriefe avec sans doute un peu trop de sincérité pour ce qu’il peut encaisser pour l’instant : “moi aussi le vomi je ne pouvais pas, mais on s’y fait rassurez-vous” 🙂
Je rhabille Noa avec la culotte et le pantalon de rechange que je prends toujours dans le cas d’une “petite fuite”, je lui mets son pull sans rien en dessous (ouf on l’avait enlevé celui-là), et ses baskets à peu près nettoyées sans chaussettes…
Evidemment nous n’avons ni lingettes, ni sac plastique pour isoler le reste mais on se débrouille, sauf pour le siège auto qui est irrécupérable et qui finit dans le coffre, plus ou moins déhoussé à la sauvage.
Nous déposons notre agent à bon port, carrément traumatisé (sa femme doit être en train de nous maudire jusqu’à la septième génération; la pauvrette qui voulait mettre une famille en route !!); il est 20h. Plus question d’attraper le train maintenant…
Retour à Rennes, on s’arrête dans un ‘Marché Plus’ encore ouvert pour acheter le pack de secours : lingettes et coca-cola. Le plan est le suivant : on fait 2 groupes, Dav va rendre la voiture et Noa et moi allons échanger les billets pour le train suivant.
Sauf qu’il n’y a pas de train suivant.
Le guichet a fermé à 19h, il n’y a plus personne.
La machine automatique me dit que les billets ne sont ni échangeables ni remboursables contrairement à ce qui est imprimé dessus.
Je regarde les horaires et le prochain train est… demain matin.
David finit par trouver un contrôleur compréhensif qui accepte d’annoter nos billets pour un échange le lendemain : normalement, l’échange dans l’heure suivant le départ raté ne doit pas coûter plus de 3 euros supplémentaires par billet.
Nous rampons péniblement jusqu’à “l’Hotel de Bretagne” juste en face de la gare. Tarif week-end, on est ravis, mais la dame de l’accueil n’a plus de nécessaires de toilette à nous fournir.
Au menu de la soirée :
– Douche pour Noa et soirée totalement à poil : youpiiiiii !
– Lavage de vomi sur fringues au mini savon de l’hotel et dodo pour moi
– Courses (tahiti douche et brosses à dent) et sandwich grec pour Dav
Le (nouveau) plan est le suivant : on se lève tôt pour avoir le premier ou le second train, sachant qu’il faut aller échanger nos billets avant et que ce ne sera pas une sinécure…
Après une nuit plutôt tranquille, on se prépare au départ, rammassage de nos affaires, petit dej. Dav remet les clés de notre 206 sinistrée dans la boite aux lettres de Budget avec un mot de condoléances d’excuses.
La gare est noire de monde. L’idée que ce sont les vacances et qu’on n’obtiendra jamais 3 places de dernière minute dans le même train commence à m’effleurer… Dav fait courageusement la queue au guichet déjà surpeuplé. Il est 8h45, il y a un train à 09h05 et pratiquement toutes les heures… je me détends, ça devrait être bon.
A 9h02, après moult explications (pourquoi la machine a refusé l’échange ? pourquoi nos billets sont annotés à la main par le controleur ? Et c’est quoi cette drôle d’odeur monsieur ?), Dav me fait signe de nous presser pour avoir le train de 09h05. Avec un train toutes les heures je ne suis pas plus inquiète que ça et nous montons à 09h04 dans le TGV pour rejoindre 3 places miraculeusement contigües mais “à fond de cale”.
Ce n’est qu’au moment du départ que David me dit badinement “c’est bien qu’on ait pu avoir celui là, parce que le suivant pour nous c’était 17h05” !!
Bilan du week-end :
– une centaine d’euros de location de voiture, +20 pour le siège auto + 17 pour les 100kms hors forfait que nous avons faits + 45 euros de forfait de nettoyage (s’ils arrivent à nettoyer !) + le plein (car dans la hâte et la fatigue nous avons oublié de rendre la voiture avec le plein)
– des billets échangés mais contre 15 euros supplémentaires – mort à la SNCF !!!
– une nuit d’hôtel pour 3 avec petit dejeuner
Par contre, on a économisé les frais de pressing du costume de notre agent immobilier…
Heureusement “notre” maison n’est toujours pas vendue mais à ce rythme là, on n’aura bientôt plus un sou en poche pour l’acheter de toute façon 🙂
Et vous c’était comment votre week-end ?
Vendredi 18 avril
Dernière journée de ballade provençale. Bruno nous a concocté un “petit tour” pour pré-retraités autour de Bargemon: 11 kms, dénivelé annoncé < 100 m…
En vérité, le kilométrage est peut-être un peu plus long et le dénivelé devait être fractionné parcequ’on a quand même eu 1,5 km de descente très sévère pour finir! Mais le chemin était superbe (sous-bois, crête…)
C’est ainsi que pendant une semaine nous avons fait un bout de chemin ensemble…
A notre tour d’essayer de vous faire partager quelques un des bons moments passés la semaine dernière en baie de Somme.
Le Tréport est un petit port de pêche relativement mignon sous le soleil, surtout lorsqu’il n’est pas défiguré par une horrible fête foraine comme ce fut le cas au début de notre séjour.
Les couleurs dans la baie sont magnifiques, nous avons pu faire de très belles balades le long des falaises.
Attention, pas trop près car les risques d’éboulement sont très importants ! Fred l’aventurier n’a bien sûr pas pu s’empêcher de nous faire passer par des endroits assez peu recommandés… (les deux photos suivantes sont une ‘spéciale-dédicace’ pour Marie-Claire !)
Que l’on se rassure, Fred sait faire preuve d’un sens certain de l’équilibre en toutes circonstances !!!
Et au sommet de la falaise, la divine récompense…
Un des points culminant de notre séjour fut la visite du parc du Marquenterre, réserve naturelle où l’on peut observer de multiples ‘poupoulles’ depuis 13 postes d’observation situés le long d’un très agréable parcours:
Fred et moi avons été très sages, et donc nous avons eu la chance de pouvoir observer des cigognes, hérons, cormorans, vanneaus huppés, oies cendrées, cygnes tuberculés, cygnes sauvages, avocettes élégantes, ainsi que la fameuse spatule blanche (pas de photo malheureusement car j’ai cassé le zoom de notre appareil photo il y a quelque temps, sniff…).
Cependant, grâce à un habile montage jumelle-appareil photo, nous avons tout de même pu immortaliser la grande aigrette, ci-dessous :
Un autre point culminant de notre semaine fut la rencontre avec une colonie de phoques veaux-marins !!! C’est la plus importante des trois colonies de France et regroupe plus de la moitié de la population française. Si vous ne le savez pas déjà, voici comment reconnaitre un phoque:
Voici le phoque que nous avons pu photographier ‘relativement’ correctement (cf. le très énervant problème de zoom décrit ci-dessus… grrrr…)
(si si, il y a bien un phoque sur cette photo; Au centre, une masse grise détectable si vous faites un zoom sur l’écran)
En résumé, une très belle région à découvrir, très ‘nature’, où nous retournerons très certainement l’année prochaine au printemps!
Jeudi 17 avril
Aujourd’hui Bruno avait prévu un pélerinage très religieux à la Chartreuse de la Verne, au coeur du massif des Maures, non loin de Collobrières, le paradis de la châtaigne ; nous en avons vite compris la raison: la chartreuse est placée sous le saint patronnage de Bruno ( saint Bruno , célèbre Lyonnais, mâtiné d’Ardéchois…).
Lorsque vous acquitez votre droit d’entrée, un agent commercial à la technique de vente très agressive nous a informés que tout était à vendre, qu’il suffisait de se laisser guider par les étiquettes: le Christ emmaillotté et informe: 152 euros, le Christ sans sa croix, 2150 euros, l’option croix + 350 euros; quelques Saintes Vierges à des prix prohibitifs. Il a même voulu vendre un rosaire nouveau modèle béni par Jean-Paul II à Mimi qui lui a répondu qu’elle préférait le rosé de Jean Paul. Au terme de la visite, Anne-Marie était très frustrée car elle ne savait toujours pas si c’était des moines ou des nonnes et combien ils ou elles étaient…
Dépités nous avons repris notre promenade dans les chênes lièges; nous n’avons pas été déçus. Lucie a moissonné des asperges sauvages (asparagus silvaticus en latin : 750 euros le bocal de 400 grammes à la chartreuse) dont nous nous régalerons ce soir.
Mercredi 16 avril:
Vers 11 heures 1/2 on a laissé Céline à la gare
, puis retour en force dans l’Estérel mais à un autre endroit: col du Perthus et plateau de Roussiveau. A l’arrivée sur le site, pique-nique à l’ombre des chênes lièges, ensuite départ de la balade. Après une longue montée dans les éboulis et les passages en sous bois, sieste sur le plateau au sommet. Le réveil fut difficile, et l’on entame une descente en pente douce avant le retour à la maison.
PS: nos rando-artistes se lancent à présent dans la photo macro et comptent bien concurrencer Karine et Estelle. Rien de tel qu’une saine émulation dans l’art. Pour ma part, j’ai modestement réussi à faire deux fois “carte pleine”. Mais ce n’était que deux mini cartes; je vais essayer de m’améliorer.
