Il y a des jours comme ça…

Vivement ce soir qu’on arrive à Lille !!

Noa est clouée à la maison avec une gastro (la variante sans vomissement, heureusement ! Je vous laisse deviner ce qui reste). Je suis donc moi aussi à la maison, dessins animés branchés à fond, régime banane, carottes, riz et coca-cola (on ne va pas se plaindre, ni elle ni moi :)). Je suis harcelée par le boulot pour faire la publication du site d’un de nos gros clients. A distance… Mon chef m’appelle pour qu’on s’organise, et Noa s’égosille derrière moi sur la chanson des Schtroumpfs. J’ai l’air de quoi moi ? (j’ai quand même dit qu’elle était super malade :))

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Hier j’embarque ma didoune dans la voiture pour aller chez le toubib et …rien. Plus de batterie. Elle a rendu l’âme dimancher dernier quand Dav revenait du Volley. David doit donc s’atteler tout à l’heure à la réparation avec une batterie toute neuve (ne vous inquiétez pas je prendrai des photos de ce grand événement !!). In extremis pour venir retrouver Estelle et Fred !!

Il y a des jours comme ça… où on ferait mieux d’aller bosser 🙂

Le circuit des remparts

Ce week-end, je suis allé tout seul rendre visite à Seb, Sophie et Alexandre à Angoulème. Le prétexte, c’était une course de vielles voitures organisées tous les ans dans le centre ville d’angoulème.
La course de vieilles formules 1, ça fait beaucoup de bruit, et c’est pas très rapide.
Vieille formule 1 à fond à fond
Mais le spectacle est surtout autour du circuit, car tous les pationnés de voitures se donnent rendez-vous pour exposer leurs bolides.
IMG_4864Vieille Voiture Fiat

HergéMais la course n’était qu’un prétexte pour revoir mes amis. Nous avons donc profité du week-end pour rattraper le temps perdu et discuter jusqu’au bout de la nuit. J’ai pu constaté que jouer aux playmobils avec un garçon ou une fille, ça n’avait rien à voir! A Angoulème, il y a des pirates, et des cowboys, mais pas beauoup de centre équestre, ou de marchands de glace!
Angoulème, c’est aussi la ville de la bande déssinée, et même si le festival a lieu fin janvier, la ville reste proche de la bd!

“The” déménagement

Et oui, il est arrivé… le temps tant attendu du déménagement depuis Rennes jusqu’à Lille. Moult cartons avaient été préparés depuis une dizaine de jours, avec l’aide plus ou moins active de nos deux loulouttes.

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Heureusement que le jour J (mercredi 29 aout), nous étions 9 à nous activer: Jean-Paul & Marie-Claire, Jean-Louis & Nicole (mes parents), Céline & Martial (ma grande soeur et son mari), Philippe (mon oncle), ainsi que bien sûr Fred & moi. Le chargement s’est bien passé, sous le soleil heureusement. Nous avons réussi à remplir complètement un camion de 20m3, ainsi que deux grandes remorques. On en amasse des choses dites donc… la palme revenant quand même à la 1/2 tonne de BDs de Fred (environ 20 cartons de 25 kg) !

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La pause déjeuner a été sympa car nous avons colonisé la petite cour de notre immeuble pour faire pique-nique. Impeccable, nous étions très tranquilles et protégés de la rue. Mais effectivement, cela ne vaut surement pas une balade à Telgruc ;-).

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A 16h tout était terminé (chargement + ménage), et tout le monde a pu rentrer chez lui. Fred et moi avons récupéré nos loulouttes laissées en pension chez des copains, puis départ pour Bretteville sur Dives (chez mes parents en Normandie) ou nous avons passé la soirée et chargé encore 2-3 bricoles (juste 2 armoires et un secrétaire…) avant de repartir le lendemain pour Lille. Jeudi matin donc, départ aux aurores (6h30) pour Céline & Martial qui conduisaient le camion de location, puis une heure plus tard pour le reste de la troupe (Fred & moi, mes parents avec une remorque, Philippe avec une autre). Nous sommes arrivés vers midi, avons mangé sur le pouce puis déchargé toutes nos possessions. Nous avons bien avancé jusqu’au soir pour mettre en place quelques postes essentiels tels que cuisine et meubles, puis nous avons pris notre premier repas et apéro bien mérités dans notre “château-en-devenir”.

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Le vendredi matin, tout le monde s’est remis au travail pour ranger un peu (surtout remettre rapidement en place toutes les BDs qui encombraient le futur salon). Repos enfin pour tout le monde, humains comme animaux, en fin d’après-midi, puis nous sommes allés nous balader dans le centre de Lille.

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Et oui, la maison est assez bien placée, à environ 30 minutes du centre ville sans prendre la voiture (10-15 minutes à pied jusqu’au métro + 15 minutes de métro pour arriver plein centre). C’est plutôt agréable, avis aux amateurs ! Le samedi matin, nous nous sommes retrouvés tous seuls dans notre nouvelle maison car ma famille rentrait chez elle. Tout cet espace pour rien que nous deux (+ nos loulouttes), cela fait un peu drôle au début… mais on s’habitue vite 🙂 ! Et dès l’après midi, direction Ikea afin d’acheter de nouveaux meubles… indispensables bien sûr !!!

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A ce jour, mercredi 05 septembre, nous sommes relativement bien organisés puisque nous passons à l’étape ‘décoration’. Dans quelques jours, l’étape ‘accrochage de cadres’ sera enclenchée, c’est bon signe.

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La suite dans un prochain épisode…

Balade du 8 août 2007

Encore une balade exceptionnelle du clan G… A partir de Telgruc sur mer. Mais avant de Plonéour une route qui nous était totalement inconnue, par les plages de Plomodiern et des vues exceptionnelles. Arrivée à Telgruc un peu avant le rendez-vous (une vieille habitude de plonéouristes) afin de repérer l’essentiel du patelin. Chose faite à 11 heures 30. Mimi, Bruno, Céline et Lucie arrivent comme toujours dans les temps. On attend – mais un tout petit peu- les vedettes (Philippe et Anne- Marie ) – qui arrivent en moto ! Direction le parking de départ: Bruno ( et ses passagers) et nous souffrons pour les rayures éventuelles sur la carrosserie de nos superbes limousines (ils pourraient quand même faire un effort et couper les ronces un peu plus court!). Départ pour le pique nique sur une plage de rêve que peu de monde nous dispute. Là, une petite mer (l’océan mais très calme qui aurait ravi Noa) d’une transparence et d’un calme exceptionnels. Déjeuner sur les rochers presque anatomiques mais un peu durs pour les fesses ! Puis véritable départ pour la VRAIE balade… au début très raide! mais quelle récompense! C’est tout simplement féérique ! Philippe ne voulait pas dévoiler le lieu de balade pour que la surprise soit complète … il avait raison ! Tout le chemin de l’aller le long de la côte… et suprême bonheur, un peu avant de faire demi-tour, le chemin surplombant une plage, un dauphin qui vient nager pendant plus d’une 1/2 heure avec les gens de la plage qui le caressent dans un fond de 50 cm à peu près. On en a pris plein les yeux… et quelques photos! Mais j’ai beaucoup pensé à Karine et à son zoom exceptionnel qui lui aurait permis de faire des gros plans, là où moi je n’ai pris que des photos sans doute assez banales; Noa aussi qui était émerveillée par un tracteur plein de bois et qui n’en serait pas revenue de voir des requins en Bretagne! . Retour plus plat (pour le dénivelé pas pour le paysage!) sur un chemin fort sympathique et un peu moins sportif. Une journée de pur bonheur. Des photos suivront dès qu’un ou une spécialiste (ils sont annoncés) viendra pour me donner quelques leçons basiques pour apprenti curieux et volontaire.






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Fabienne et Guillaume, les Toulousains à Plonéour

Mardi 31 juillet Fabienne et Guillaume sont arrivés à Plonéour. Fabienne commençait à désespérer de voir le soleil en Bretagne. Heureusement durant leur séjour il a daigné se montrer, ce qui nous a permis de lui faire découvrir les paysages les plus proches (pointe de la Torche le matin avec une belle lumière; arrivée des chalutiers au Guilvinec dans l’après-midi sous un soleil presque méridional) . Guillaume venait aussi pour disputer le tournoi de tennis de Plonéour . Après la balade au port il lui a fallu un set de réglage pour venir à bout d’un adversaire redoutable. Le lendemain il tombait sur un “gros morceau” F. Merrour ( classé 0; mais 0 c’est loin d’être nul!) . Le mercredi après-midi les Toulousains nous quittaient déjà. Nous étions très contents de faire la connaissance de Fabienne et nous avons apprécié de pouvoir passer un peu plus de temps que d’habitude avec Guillaume.

Mimi vient récupérer sa fille lâchement abandonnée à Plonéour

A son retour d’Egypte (où elle a failli vider le parc à chameaux) Lucie est venue directement en avion à Plonéour afin de s’épargner un long trajet en voiture. Elle nous a apporté la pluie ! Mais nous ne sommes pas rancuniers, nous l’avons quand même bien reçue. En digne fille de sa mère, elle goute à tous les breuvages, mais affiche une nette préférence pour le Malibu qu’elle noie dans une goutte de jus d’ananas. Dès le dimanche, ses parents, inquiets, sont venus la récupérer. Même la mamie était de l’expédition. On en a profité pour l’aérer un peu; un petit tour à la Pointe de la Torche dans le vent, rien de tel pour revigorer quelqu’un qui ne fait pas suffisamment de sport. Très vite elle a entrainé tout le groupe; c’est elle qui tire ses enfants un peu lents en déplacement! Les jeunes , c’est plus ce que c’était!

David à La TorcheLa famille à La TorcheLa Famille à La TorcheJean-Paul et sa mamanMimi, Bruno, Jean-Paul, Mamie

Solidays

Solidays, cette année, c’était :

Eiffel pour Karine,

Eiffel - Romain Humeau

“Cuillère des mains, oh cuillères des mains pour l’upatiné!” pour Noa

Karpatt pour Erwan

Karpatt

Les abdos de Yannick Noah pour Alexa

Yannick Noah

Moi, je retiendrai surtout la bonne ambiance,

Alexa et Erwan

et les percussions brésiliennes de Muleketu!

Giverny : David, Karine et Noa redent visite à Claude Monet

Cette année, Karine m’a gâté pour mon anniversaire : elle souhaite me transmettre sa passion pour la photo et m’a donc offert un tout petit appareil photo qui “a tout d’un grand”.

Je ne voulais pas l’essayer sur n’importe quel sujet, nous sommes donc parti rendre visite à Claude Monet dans sa maison de Giverny. Enfin, c’est vrai que les images qu’on retiendra, sont surtout celles du jardin.

On comprend mieux pourquoi le peintre aime les nénuphars (ou nympheas).

Le bassin aux Nymphéas L’étang de Claude Monet

Le plus impressionnant dans ce jardin, ce sont les couleurs.

Les coquelicots de Claude MonetFleur blanche à GivernyFleur mauve à Giverny

Le peintre aurait réalisé le jardin seul. Quel travail!Mais cela en vallait la peine.

Vue d’ensemble du jardin

Il me reste néanmoins une critique : la route qui coupe le jardin en 2… Il fallait y penser!

Pour ceux qui veulent en savoir plus, le site officiel de la Fondation Caude Monet présente une biographie du peintre, et quelques photos et peintures sur la maison de Claude Monet.